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Une sorte de journal — 03 novembre 2015

Dans ton silence il n’y a personne que ton silence — j’oublie ces voix comme effacées elles momies, elles sable posé sur les branches hautes et puis ce vent qui vient qu'elles ne voient pas quand je le sens dans les arbres derrière courant de tout son pas de loup, ce qu'il retient de ce qu'il donnera ; momies, et sable.