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Une sorte de journal — 20 juin 2015

Depuis dessous les arbres ont leurs mâtures où je me perds et pas seulement, ce pourrait être une vigie, on regarderait le loin qui vient ; en attendant dessous on devise tranquillement pendant qu'autour tout bruisse dans des froissements de feuilles se dépliant ; tout à la fin c'est un grand calme celui du soir qui suit le bousculement ; j'ai parlé des mille ans et maintenant j'y pense souvent.