On parle et c'est parler qui sauve ; navire de ciment échoué, ton froid, tes ruisseaux lents, ta paix encore dans ce souffle à nues bouches ; il n'y a plus rien ensuite que l'espoir qui n'advient pas, le tissu et son pli.
On parle et c'est parler qui sauve ; navire de ciment échoué, ton froid, tes ruisseaux lents, ta paix encore dans ce souffle à nues bouches ; il n'y a plus rien ensuite que l'espoir qui n'advient pas, le tissu et son pli.
Je me relève à pas comptés ; à l'envers des vitres c'est ce monde à parfum d'acier, son froid qui tient serré le merle dans les feuilles mortes ; on pourrait ne plus jamais aller nulle part.