Un temps immaculé. Des villes dont j'oublie les carrefours. Vous êtes vivant mais votre corps est champ de ruines. Depuis hier, le feulement des camions sur la route. Une terre retournée. La faim. La faim. La faim. Liens transversaux de livre pour Les journaux du virus #48 Les journaux du virus #47 Haut Les journaux du virus #49