De morts il n'y a plus qu'on puisse voir. Nos deuils à même nos poches. Des herbes folles. Je ne sais même pas qui vous étiez. Portez vos gants même pour dormir. Nous récoltons ces hardes pour ceux qui n'ont plus rien. Liens transversaux de livre pour Les journaux du virus #47 Les journaux du virus #46 Haut Les journaux du virus #48