Aller au contenu principal

Les journaux du virus #42

Un équilibre d'os. La rage sereine des sous-bois. Si tu suis ce chemin, tu arriveras au grand silence. Je crois qu'un cerisier se cache au ventre de la haie. Confinés éternels. Jusqu'à l'automne peut-être. Ce que tu vois là-bas c'est un château abandonné, une vieille femme y vit.