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La fente à l'âme (2)

Allume les incendies,
les petits jours de la violette,
juste comme passent quelques nuages
dessous le porche.

Cette chambre est prête
quand la lente caresse, la pourriture
tisse sans fin ce qui te tient le coeur
dans l'inutile averse des oiseaux.

l’Estocade n° ¾, été-automne 1996, pp. 98
à suivre