Une sorte de journal — 27 octobre 2015
Une sorte de journal — 27 octobre 2015
Les douves frissonnent — moments baignés de lune ; je marche sans faire un geste mais ce n’est pas dans ton silence ; ce que j’attends c’est moi et ce regard parlé sur un banc sec tout embrassé au parc vide ; ce serait des carnets emplis de vide, le plein du vide.