Aller au contenu principal

Apocalypse

(...) laissant couler des fleuves de sang avec des corps dessus comme des outres noires passant se heurtant aux branches mortes tournant et repartant vers la nuit lourde d'où émergeait mais juste à peine la trame de gaze sur laquelle nous avions crayonné des messages que personne ne comprendrait lirait jamais que personne même ne voyait c'était à même les murs ou presque un inutile avertissement.