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Acier sale

... finissant. Rien, évidemment, ne changerait cela, même pas de monter à bord de l'un de ces navires immenses que l'on voyait partir vers la haute mer depuis le bout de l'horizon et dont on s'imaginait pourtant qu'ils avaient pouvoir de nous tirer de nous, de nous tirer d'ici, même s'il fallait pour cela passer des mois cachés en quelque fond de cale, de cuve noire, à nous vomir entiers chaque jour du fait des entrechats de l'océan de l'autre côté des parois d'acier sale.