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La fente à l’âme (6)

On avoisine la pierre, et son torrent de voix
toute l'écorce en boursouflures de noyers.

Quelques copeaux, l'odeur des champignons
sous ce métal plus gris que le regard.

l’Estocade n° ¾, été-automne 1996, pp. 102
à suivre