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La fente à l'âme

Quelques perles, quelques poussières, et les canaux asséchés : On croise les feuilles hallucinées, les voyageuses Cependant même que nos paroles se perdent dans les silences de suie. Restent nos miroirs, les hésitants, dans lesquels les roses portent des boucles et des lierres.

l’Estocade n° ¾, été-automne 96, pp. 97 à suivre